 | Site en construction. |
|   Les palaces du boulevard de CimiezC'est la voie triomphale créée sous l'impulsion de l'architecte niçois Sébastien-Marcel Biasini pour relier la ville à l'immense hôtel Excelsior-Regina.
Au n°2, dominant le boulevard, le monumental Grand Palais, hôtel construit en 1912 par l'architecte Charles Dalmas (Nice 1865-1938). Outre les chambres on y trouvait 150 appartements meublés. Construction de hauteur record pour l'époque (9 étages) elle a une puissante armature métallique masquée par le décor de façade. Aujourd'hui copropriété.
Lui fait suite le non moins impressionnant Majestic (n°4) qui comptait 400 chambres. Achevé en 1908 par l'architecte Jules Febvre, qui le dota d'une entrée particulièrement élégante. Aujourd'hui copropriété. Plus haut en face on remarquera le Palais de Valence (n°15) pour la réussite des trompes-l'œil de sa façade nord aveugle.
N°24: Villa El Paradisio construite vers 1900 pour la baronne Van Zuylen van Nyevelt de Haar, née de Rothschild. En 1941 y fut installé le Conservatoire National de Région, aujourd'hui transféré avenue de Brancolar. Plafonds peints et boiseries bien conservés. Parc accessible au public.
N°35 : la villa de Surany lui est contemporaine. Œuvre de l'architecte Adam Dettlopf (né aux environs de Cracovie en 1851) pour M. Raffaeli, elle passa à Herman Back, comte de Surany, consul de Perse. De structure très classique, presque palladienne, elle présente une note orientale dans ses baies en arcs outrepassés et ses frises de faïences et de mosaïques. L'intérieur s'articule autour d'un escalier monumental. Elle a été malheureusement transformée.
N°46/48 : L'Alhambra construit en 1901 comme hôtel est l'archétype de l'architecture orientalisante revue et corrigée pour une adaptation locale. Ses minarets, ses grandes baies en arcs outrepassés, ses stucs blancs et sa superbe marquise en font l'un des édifices les plus spectaculaires de la Belle Époque à Nice. Un magnifique parc s'étend en avant.
N°39 : Le Riviera-Palace construit en 1889 par S-M. Biasini avait de hautes toitures "à la Mansard" supprimées en 1950 au profit d'une terrasse. Il a conservé une partie de son parc.
N°82 : Winter-Palace construit vers 1900 par Charles Dalmas qui a adopté d'emblée une couverture en terrasse. Entrée monumentale qui donne sur un vaste "jardin d'hiver" à cheminées de marbres rouges heureusement préservé. Pharmacie ancienne sur le boulevard.
On aboutit à l'Exelcior-Regina, lieu de séjour privilégié de la Reine Victoria. C'est le chef d'œuvre de S. M. Biasini réalisé en quinze mois (!) et inauguré en 1895. Converti en copropriété dans les années 30, le peintre Henri Matisse y eut son atelier. En avant monument à la Reine Victoria par Louis Maubert (1911) : la Reine est assise au milieu de jeunes femmes qui personnifient Nice, Cannes, Grasse et Menton, villes où la souveraine séjourna. |
|   Le parc ChambrunDans ce qui reste du domaine du comte de Chambrun, ce jardin renferme le « temple de l'amour », petit chef d'œuvre d'architecture romantique, ancien kiosque à musique, imitation du temple de la sibylle à Tivoli (Rome).
Situé dans le quartier résidentiel de Saint-Maurice, au nord de Nice, entouré de rues dont les noms perpétuent les grands poètes du XIXème, ce parc est très apprécié pour son calme et son pavillon de musique le “temple de l'amour”.
Il est dominé par un énorme Cèdre du Liban dont la plantation remonterait à la fin du XVIIIème siècle. Des vieux Ifs de belle taille participent à l'ombrage de la partie supérieure tandis qu'un escalier monumental, très dégagé et exposé au sud, permet d'accéder à la partie basse. .... |
|   Le monastère de CimiezSuccédant à une chapelle du IXe siècle bâtie sur les ruines d'un temple païen, l'église ogivale du XVe siècle abrite trois œuvres majeures de Louis Bréa, commandées par les franciscains au peintre niçois entre 1475 et 1515.
Si la Pietà demeure fidèle à la peinture gothique avec son fond doré guilloché, ses larges à-plats colorés, son faible modelé des formes et sa douce sérénité des visages, la Crucifixion et la Déposition marquent l'utilisation intelligente de tous les apports de la Renaissance : composition spatiale ou pyramidale, clair-obscur, expressivité des attitudes, au service d'un enseignement de la foi chrétienne élaboré.
Passés un grand retable de bois doré sagement baroque, véritable oraison sculptée, les harmonieuses stalles du chœur, les deux cloîtres à plein cintres et voûtés en arêtes, la sacristie offre l'originalité absolue de sa voûte totalement couverte d'une décoration peinte végétale et florale qui se résout dans la figure centrale de Marie.
L'oratoire attenant à la sacristie n'est pas moins riche. S'y trouvent un grand relief en bois sculpté représentant la Stigmatisation de St François et un Christ crucifié primitif.
Sur la place du Monastère s'élève une croix, sculptée dans le marbre en 1477. Supportée par une colonne torse, le Crucifié qui apparut à St François sous la forme d'un séraphin.
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|   Le quartier ValroseLe quartier de Valrose est un quartier niçois blotti entre la colline de Cimiez et Brancolar. Le « Grand Château » situé sur le campus ValroseOn y trouve le château du baron Paul von Derwies acheté en 1866, 12 millions de francs or. Il abrite à présent la direction de l'université de Nice, au milieu du parc de Valrose qui constitue le campus Valrose, avec les locaux de la faculté des sciences de Nice ainsi que le gymnase Valrose.
Parc de Valrose Nice.Le domaine Valrose a été racheté en 1958 par la ville de Nice, pour la somme de 320 millions de francs en 1961. Le propriétaire en était la famille Patiño, le prince bolivien de l'étain. Le domaine est rétrocédé à l'État en 1965, qui y établit alors le siège de l'université de Nice. Enfants du baron Paul von Derwies Nice.En 1924, Samuel L. Goldenberg, entrepreneur américain rescapé du Titanic, et sa seconde femme Edwige Garbowska font construire une Cité des Aveugles dans le quartier Valrose. Celle-ci consiste en seize villas conçues pour loger des familles de non-voyants, édifiées sur des terrains cédés pour un franc symbolique. Aujourd'hui, l'avenue Goldenberg-Garbowska débouche à hauteur du n°79 de l'avenue Valrose, là s'élevait la Cité des Aveugles.
À proximité, dans le quartier Saint-Lambert, se trouve l'église Sainte-Jeanne-d'Arc, édifice religieux d'architecture très moderne.
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|   La Villa ArsonLa Villa Arson : une institution nationale dédiée à l'art contemporain
Créée en 1972, la Villa Arson est dès l'origine conçue comme un établissement artistique singulier réunissant une école supérieure d'art, un centre d'expositions d'art contemporain, des résidences d'artistes et une médiathèque spécialisée.
Aujourd'hui, la Villa Arson est un établissement public du ministère de la Culture poursuivant une vocation de formation, de recherche et d'aide à la création tout en ayant la volonté de faire découvrir les pratiques artistiques les plus actuelles à un public diversifié. Ouverte sur l'international,la Villa Arson développe des partenariats avec des institutions étrangères permettant l'accueil d'étudiants, de chercheurs et d'artistes. Dotée d'un service des publics, elle veille aussi à élargir son audience régionale et nationale.
La Villa Arson est également un lieu patrimonial à découvrir. Implantée sur la colline Saint-Barthélémy (quartiers nord), elle occupe un site de plus de 2 ha dominant la ville. L'ensemble architectural conçu à la fin des années 1960 par l'architecte Michel Marot est labellisé Patrimoine du XXe siècle.
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